Parmi les choses qui peuvent perturber vos plans d’entraînements, la fatigue est quelque chose qu’il faut vraiment prendre au sérieux.
Tout d’abord, il faut déterminer la nature de votre fatigue. Je ne peux vous proposer d’agir quoi qu’il en coûte. Cela ne serait pas raisonnable. Il faut avant toute chose, savoir si la fatigue ressentie est dû à une mauvaise journée au boulot, au manque de sommeil, ou à un réel surentraînement. Dans le dernier cas, il est extrêmement important de prendre du repos, faute de quoi, ce sera toute la progression réalisée qui sera perdue.
Le surentraînement est bien plus présent que l’on ne le pense. Il conviendra alors de diminuer la durée et l’intensité des séances de sport. Si cela ne suffit pas, un repos total peut-être envisagé en revoyant le cadre du sommeil – en augmentant la durée de celui-ci d’une par nuit par exemple.
Pour réussir à s’entraîner efficacement, il est fondamental de sacraliser le repos. Les nuits doivent être de 8 heures minimum. Si votre emploi du temps permet de réaliser des siestes de 15 à 20 minutes dans la journée, il ne faut pas s’en priver.
Pour ce qui est de la fatigue mentale, plus difficile à gérer, il conviendra de déterminer ce qui cause cette fatigue pour pouvoir y mettre un terme. La simple pratique de la méditation peut réellement vous aider à abaisser vos niveaux de stress.
Si vous êtes simplement démotivés, n’avez pas envie, et mettez ça sur le compte de la fatigue pour vous déresponsabiliser. Entraînez-vous. Vous avez passé une mauvaise journée ? Formidable, vous entraîner sera la meilleure façon de rendre une journée, selon vous « chaotique » en journée productive et plaisante.
Il est capital d’être sincère avec soi-même, de définir la nature de notre fatigue avec honnêteté. Puis en fonction de celle-ci, de prendre une décision alignée avec nos objectifs.